Des membres des forces spéciales se sont mutinés mardi dans la ville d’Adiaké, procédant à des tirs nourris à travers la ville.
De sources concordantes, une délégation de la hiérarchie militaire, au nombre de laquelle le général Lassina Doumbia, patron des forces spéciales ainsi que le général de division Touré Sékou, chef d’état-major général des Armées, et le général Vagondo Diomandé, chef d’Etat-major particulier du président de la République, a pu échanger sur place avec les mutins. Le calme était revenu en fin d’apres midi, selon des témoins.
Les mutins, a précisé une source officielle, avaient, au nombre de leurs revendications, une augmentation de leur solde et le paiement de primes à l’instar de ce qui a été accordée aux soldats qui s’étaient révoltés en janvier.
« En dehors de ces deux points, aucunes autres revendications n’a été évoquées, lors des discussions. Tout le reste n’est que de la rumeur », confie une source très proche des négociations.
A la vérité, contrairement à ce qui a été dit au début de la mutinerie par certaines sources, il n’a jamais été question de détournement de prime par le commandant des forces spéciales; cette information étant évidemment fausse.
"Les primes de la frontière sont payées par l’Etat-Major général des armées et les primes mensuelles sont payées par le président et définies par arrêté. Tous les taux sont connus et publics. Aucune rétention n’est possible", assure une source proche de l’Etat major des armées.
Les revendications des hommes du général Doumbia ont été transmises, de sources concordantes, au gouvernement qui devrait les examiner de façon diligente.
D.Tagro
De sources concordantes, une délégation de la hiérarchie militaire, au nombre de laquelle le général Lassina Doumbia, patron des forces spéciales ainsi que le général de division Touré Sékou, chef d’état-major général des Armées, et le général Vagondo Diomandé, chef d’Etat-major particulier du président de la République, a pu échanger sur place avec les mutins. Le calme était revenu en fin d’apres midi, selon des témoins.
Les mutins, a précisé une source officielle, avaient, au nombre de leurs revendications, une augmentation de leur solde et le paiement de primes à l’instar de ce qui a été accordée aux soldats qui s’étaient révoltés en janvier.
« En dehors de ces deux points, aucunes autres revendications n’a été évoquées, lors des discussions. Tout le reste n’est que de la rumeur », confie une source très proche des négociations.
A la vérité, contrairement à ce qui a été dit au début de la mutinerie par certaines sources, il n’a jamais été question de détournement de prime par le commandant des forces spéciales; cette information étant évidemment fausse.
"Les primes de la frontière sont payées par l’Etat-Major général des armées et les primes mensuelles sont payées par le président et définies par arrêté. Tous les taux sont connus et publics. Aucune rétention n’est possible", assure une source proche de l’Etat major des armées.
Les revendications des hommes du général Doumbia ont été transmises, de sources concordantes, au gouvernement qui devrait les examiner de façon diligente.
D.Tagro